Lors d’un reportage pour Arte, Samuel Gassmann s’intéresse en 2007 à comprendre l’origine du « plus petit élément » du vestiaire masculin : le bouton de chemise d’homme. Après une recherche empirique faite au Musée de la Nacre, le résultat aboutit à des pions de nacre qui s’apparentent visuellement à des boutons de manchette. Avec sa marque éponyme, créée en 2009, Samuel réinvestit avec un ou plusieurs matériaux les temps forts de l’habillement, pour en souligner les singularités. Il développe aujourd’hui son activité à l’international.

Projets